L’Affabuleuse : Contes en Pop-up & Papiers Mécaniques
L’Affabuleuse est le fruit de la rencontre de deux artistes polymorphes, au sein du collectif TDP. Chaque principe actif et créatif de leurs pratiques respectives est stimulé et amplifié par celui de l’autre. L’évidence de cette complémentarité leur permet enfin de donner corps à leurs plus folles envies.
Deux ans de collaboration sur divers projets, leur ouvrent la voie pour d’intenses explorations artistiques et techniques. Les voilà maintenant appareillant L’Affabuleuse, le vaisseau d’exploration qui leur permettra d’approfondir leurs recherches sur leurs moyens d’expression.
(dessin, papier découpé, ingénierie papier, musique et son, illusions d’optiques, mouvements mécaniques et numériques, lumières, vidéo mapping…).
Camille Dorman (auteure, illustratrice) :
Prenez une collection de collants troués, ajoutez-y bien d’autres activités parallèles (entre confection de costumes, réalisation-jeu de courts métrages et de films d’animation en papier découpé, arpentage de planchers de théâtres en tant qu’interprète de chanson française à texte de poète maudit) et une bonne poignée de passions inavouables (dont la collecte de liste de courses d’inconnus glanés dans les supermarchés), mélangez un peu. Etalez le contenu d’un tiroir plein d’images, de contes et d’idées loufoques en sommeil, ajoutez un diplôme des Beaux-Arts de Marseille, un chat myope, et plantez-y un crayon tenu depuis l’âge de 1 ans ¾, vous obtiendrez une illustratrice-découpeuse de papier et faiseuse d’autres bidouilles. Inutile de mettre dans un moule, ça ne tiendrait pas, ni de passer au four, c’est déjà cuit. www.camilledorman.fr
Prenez une collection de collants troués, ajoutez-y bien d’autres activités parallèles (entre confection de costumes, réalisation-jeu de courts métrages et de films d’animation en papier découpé, arpentage de planchers de théâtres en tant qu’interprète de chanson française à texte de poète maudit) et une bonne poignée de passions inavouables (dont la collecte de liste de courses d’inconnus glanés dans les supermarchés), mélangez un peu. Etalez le contenu d’un tiroir plein d’images, de contes et d’idées loufoques en sommeil, ajoutez un diplôme des Beaux-Arts de Marseille, un chat myope, et plantez-y un crayon tenu depuis l’âge de 1 ans ¾, vous obtiendrez une illustratrice-découpeuse de papier et faiseuse d’autres bidouilles. Inutile de mettre dans un moule, ça ne tiendrait pas, ni de passer au four, c’est déjà cuit. www.camilledorman.fr
Christophe Boucher (musicien-multibidouilleur) :
Durant l’ère post 71 et pré-souris, il passe sa jeunesse à monter des bandes magnétiques, démonter des objets, réaliser des émissions de radio et des programmes informatiques. Ce faisant, et malgré une dispense de sport, il court plus vite que ses études, qui fort heureusement ne le rattraperont pas. Il fait ses premiers cachets de musicien de variété à 20 ans, et trois ans plus tard monte et dirige sa première compagnie de théâtre musical pour enfants (création Avignon off 1994). S’en suivent alors des années et des années d’interventions scolaires, de spectacles jeunes public, de groupes musicaux, de compagnies de spectacles de rue (clown, jonglerie, équilibre de guitare sur menton – et des fois sur un pied seulement…), de studio, de régies générales, ou son ou lumières, ou plateau (en théâtres et festivaux), de réalisations musicales, audiovisuelles, multimédia et de pieds-de-nez-le-dos-au-mur-la-tête-haute, de recherches et développement de systèmes de régies informatisées (pour la convergence musique-son-lumière-vidéo-machinerie), de musiques de scènes et de films, d’inventions mécaniques et numériques pour satisfaire les espritstordus aventureux de certains metteurs en scènes, de diverses collaborations avec l’ami, et tout cela entre Saint-Jean, Béziers, Montpellier, Toulouse, Paris, Fouzilhon et Pézenas.
Durant l’ère post 71 et pré-souris, il passe sa jeunesse à monter des bandes magnétiques, démonter des objets, réaliser des émissions de radio et des programmes informatiques. Ce faisant, et malgré une dispense de sport, il court plus vite que ses études, qui fort heureusement ne le rattraperont pas. Il fait ses premiers cachets de musicien de variété à 20 ans, et trois ans plus tard monte et dirige sa première compagnie de théâtre musical pour enfants (création Avignon off 1994). S’en suivent alors des années et des années d’interventions scolaires, de spectacles jeunes public, de groupes musicaux, de compagnies de spectacles de rue (clown, jonglerie, équilibre de guitare sur menton – et des fois sur un pied seulement…), de studio, de régies générales, ou son ou lumières, ou plateau (en théâtres et festivaux), de réalisations musicales, audiovisuelles, multimédia et de pieds-de-nez-le-dos-au-mur-la-tête-haute, de recherches et développement de systèmes de régies informatisées (pour la convergence musique-son-lumière-vidéo-machinerie), de musiques de scènes et de films, d’inventions mécaniques et numériques pour satisfaire les esprits